Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

samedi 9 novembre 2019

mes vacances au Cap d'Agde (6) le cinéma porno

En une (rare) journée de pluie, nous décidons, Louis et moi, de visiter un autre lieu de libertinage que la Baie des Cochons. Le Cap d'Agde ne manque pas d'attractions, en la matière. Mais les saunas mixtes ne nous tentent pas, car il fait tout de même chaud. Alors, nous optons, un peu hésitants, pour une visite du cinéma libertin du quartier naturiste. Nous allons y faire quelques rencontres.


Le quartier naturiste, en pleine journée



Il est rare qu'il fasse mauvais, en plein été, au Cap d'Agde. Pourtant, ce matin, le temps est maussade. Une grisaille terne s'est emparée du ciel. Et, comme souvent en pareil cas, mes envies de plage, d'autant plus fortes depuis nos visites à la Baie des Cochons, se font plus timides. Je propose à mon coquin de profiter de cette météo capricieuse pour visiter d'autres lieux de libertinage.

Bien sûr, le village naturiste du Cap d'Agde compte de nombreuses attractions de ce genre, même en journée. Mais, je ne sais pas pour vous, quand l'été cogne - même en ce jour terne - je n'ai guère envie de profiter des joies du sauna. Pourtant, il me revient à l'esprit un prospectus tendu par une jolie minette brune, lors de nos courses dans le quartier naturiste. Je fouille et je farfouille, et je tombe sur le papier en question : L'Instant X, cinéma libertin. Je crois voir où cela se situe. Je propose mon idée à Louis, qui n'est pas tout de suite enthousiaste.

Mais après une douche assez coquine dans les blocs du camping (chut ! c'est interdit !), mon amant est chaud comme la braise. Et prêt à me suivre à peu près n'importe où.

En route vers le cinéma porno


Après un repas léger, et une sieste (nous avons peu dormi la nuit dernière), nous décidons de nous rendre au cinéma libertin dans le plus simple appareil. Munis uniquement d'une serviette où poser nos fesses, nous nous dirigeons donc vers la galerie commerçante. A vrai dire, je crains qu'il ne se trouve pas grand monde dans un ciné porno, en plein milieu de l'après-midi.

Le monsieur à l'entrée nous rassure. C'est bien ouvert et il y a du monde. Il nous fait signe de passer la porte, sans nous demander de paiement. Très bien, c'est toujours ça d'économiser. Les vacances au Cap d'Agde ne sont pas les moins dispendieuses. Nous passons le rideau qui nous sépare de la salle de cinéma à proprement dit.

Sur l'écran, au fond, on diffuse un porno vintage un peu vaporeux. Mes yeux s'habituant à l'obscurité, je distingue quelques silhouettes assises sur les premiers rangs. Mais, à première vue, je suis la seule femme.  Nous décidons de nous installer au tout 1er rang de fauteuils. Ce n'est peut-être pas malin quand on va au cinéma, mais le film nous intéresse peu, à vrai dire. D'ailleurs, juste devant nous et sous la toile sont disposées quelques commodités coquines : une banquette et quelques matelas.


Les coquins du cinéma libertin


Je dois rappeler que nous sommes tous les deux entièrement nus. Nous posons nos serviettes sur les strapontins et nos culs sur les dites serviettes. Nous regardons le film. A vrai dire, ça ne m'excite pas du tout. Quand on a partouzé au Jul's, ce n'est sûrement pas une saillie aussi héroïque qu'elle soit qui va nous faire tourner la tête. Louis ne bande pas non plus.


Pourtant, je lance ma main vers sa queue. Vers ses couilles, très précisément, car je sais qu'il adore cette caresse. Et ça ne manque pas : bientôt, il bande comme un taureau. Puis, il me rend la pareille. Nous sommes donc là à nous masturber l'un l'autre, en contemplant un film porno. Alors, ce qui devait arriver arriva. Un des mecs célibataires, plus entreprenant que les autres, s'installe à mes côtés. D'une main prudente, mais décidée, il commence à caresser mes seins. Il est habillé, mais je n'ai aucun mal à lui faire sortir sa queue de sa braguette.

Je regarde de temps en temps derrière moi, pour voir si d'autres couples entrent. Non, il n'y a là, pour le moment, que des messieurs. Et ceux-ci sont de plus en plus nombreux à m'entourer. Je branle, je suce, je me laisse peloter. Louis regarde le spectacle. A voir son érection, il apprécie. Bientôt, un de mes courtisans se met à grogner. Je dirige sa queue et son éjaculation vers mes seins. Il m'arrose. Ils seront quelques-uns à faire de même. Avant que ne débute le prochain épisode.


Les couples du cinéma porno


Tout en m'amusant avec toutes ces bites, je continue à espérer l'arrivée d'un couple. A chaque fois que quelqu'un entre dans la salle, je me retourne. Peine perdue. Des mecs, des mecs et encore des mecs. Jusqu'à ce qu'arrive une blonde, qui ne doit pas avoir 25 ans, flanquée d'un type de 50, peut-être même 60 piges. Le couple s'installe à l'arrière de la salle. Régulièrement, je leur fais signe de nous rejoindre. Lui serait partant, à n'en pas douter. Mais la nymphette ne semble pas décidée du tout.

Peu importe, je continue à caresser, des mains et de la bouche, une flopée de mâles en rut. Cela ne semble devoir jamais s'arrêter. En fait, il rentre dans ce cinéma libertin de plus en plus de gars. A croire qu'ils se donnent le mot une fois sortis de la salle obscure. Un gars s'est plongé entre mes cuisses et me lèche la chatte. Des dizaines de mains caressent mon corps, de plus en plus ruisselant des hommages de ces messieurs.

Tout à coup, la foule qui se presse pour accéder à moi s'écarte. Une femme mûre, un peu forte, mais plutôt bien gaulée pour son âge, s'approche de moi. Tout en s'installant sur le strapontin à ma droite, elle caresse ma peau pleine de sperme. Elle dépose tout un tas de baisers sur mon corps. Voyant que je ne lui réponds que par quelques caresses maladroites, elle s'installe de la même façon que moi sur le fauteuil.


Double bukkake au ciné libertin


Nous sommes donc l'une à côté de l'autre, assise sur un strapontin, les cuisses écartées pour chacune un lécheur entre nos cuisses. Nos compagnons respectifs assurent l'ordre, si je peux dire. Et un flux ininterrompu de mecs se presse pour se faire branler et sucer par les deux libertines. De temps à autre, je caresse les seins lourds et un peu tombants de la dame. Elle est plus entreprenante que moi et pose son pouce sur mon clito.

D'un geste sûr et expert, elle me fait jouir, alors qu'un nouveau jet de foutre m'atteint au visage. C'est celui de son mari. Je m'essuie comme je peux, avec un mouchoir en papier tendu par un des participants. Je me suis vraiment bien amusée. Et j'ai repoussé mes limites. Mais là, j'ai envie de rentrer. Les mecs, de toute façon, ont encore de quoi jouer, avec cette dame qui va jusqu'à prendre deux pines en bouche en même temps.

Un problème se pose, toutefois. Le sperme commence à sécher sur ma peau. Et je n'ai ni douche pour me rincer, ni rien pour m'essuyer convenablement. Je vais devoir rentrer au camping-car ainsi. Me cachant tant bien que mal avec nos deux serviettes, je dois traverser en sens inverse une bonne partie du village naturiste. Je sens des regards qui se posent sur moi. J'ai honte. Un peu. Cela dépend en fait de qui me regarde. Mais je sens, mêlé à cette honte pudique, un certain plaisir, je dirais même une fierté, à me promener ainsi.


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