Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

vendredi 30 août 2019

mes vacances au Cap d'Agde (1) naturisme et plage libertine

Cet été, j'ai passé 5 jours consécutifs dans l'antre du malin, j'ai nommé le Cap d'Agde. Avec mon coquin actuel (mon amant le plus régulier), nous avons découvert le naturisme. Dès le premier jour, nous nous sommes exhibés sur la plage naturiste, qu'on appelle la Baie des Cochons.

Découverte du village naturiste


Moi qui trouvais que le camping n'était plus de mon âge. Louis a loué pour l'occasion (pas évident à dire haute voix) un camping-car de toute beauté. Et il a réservé un emplacement au camping Oltra, sur le village naturiste du Cap d'Agde. Le tout, sans m'en informer au préalable, bien entendu ! Je n'ai jamais pratiqué le naturisme, et il a voulu me faire la surprise.

Bonne fille, je m'adapte ! Après tout, il veut me faire plaisir, moi qui adore être nue chez moi quand mon poussin n'est pas là. En parlant du poussin, il est chez son père. Ce n'est pas que ça m'enchante, mais une occasion de passer 5 jours de liberté ne se refuse pas.

Donc, nous arrivons à l'entrée du village naturiste. Il faut présenter notre réservation pour avoir un "pass" d'accès. C'est Louis qui s'en charge, trop heureux de prendre pour une fois les choses en main. On passe la barrière et voici le premier "cul nu" : une mamie qui promène son chien. On a beau avoir été prévenue, ça fait quand même bizarre.

Puis c'est le camping. A l'accueil, tout le monde est habillé. On voit seulement passer quelques vacanciers déjà installés, le bazar à l'air. Mais je commence à m'habituer. Pour manœuvrer et entrer dans l'emplacement, pas de souci : un voisin qui n'arrête pas de me reluquer propose son aide.

Et puis, ça y est, il faut se lancer. Je me fous à poil, ainsi que Louis. Oh, ce n'est pas la pudeur qui nous retient, non. Mais cette drôle d'impression de faire quelque chose d'interdit. Le poids de l'éducation est parfois difficile à porter. Mais pourtant, on y est, nous sommes dehors, nus comme Adam et Eve, entourés de gens pas plus habillés.

En route pour la Baie des Cochons


On m'en a tellement parlé que je suis impatiente. Bien sûr, je veux voir la mer, tremper mes pieds dans l'eau, me baigner. Mais je veux surtout découvrir la plage libertine. Ni une, ni deux, nous sommes partis. Le voisin nous indique la porte du camping la plus proche de ce lieu mythique. Il a surtout noté que "nous en étions". On traverse le camping, nos serviettes de plage à la main. Personne ne fait attention à nous. Pourtant, nous sommes tout nus !

Et voici la plage, la mer, les vacances. Le sable est pour ainsi dire désert. C'est sans doute l'heure qui fait ça. Après avoir roulé toute la journée, nous sommes déjà en fin d'après-midi. Alors, si je suis les conseils de mes copines libertines, il faut tourner à gauche, passer le poste de secours et.... nous y sommes !

La vache ! Il y a tout de suite beaucoup plus monde ! Et c'est quoi, ce rassemblement à vingt mètres de nous ? Nous nous approchons à notre tour, pour voir un petit black tout rond, avec une bite énorme, se faire sucer par une dame blanche de la cinquantaine. Autour d'eux, des dizaines de mecs se branlent. Certains tentent de s'approcher pour avoir leur part.

Mais la libertine se met à quatre pattes et tend son gros derrière à son amant, sous l’œil amusé de son mari. Ce dernier tend une capote au black, qui l'enfile, puis enfile la coquine. Le public - une trentaine d'hommes seuls et quelques couples comme nous - applaudit quand la dame commence à couiner sous l'effet de la pénétration.

Louis semble fasciné par le spectacle. Je lui tapote sur l'épaule : "j'ai envie d'aller me baigner". Il sourit et m'accompagne. Nous posons nos serviettes avant de foncer vers l'eau. Elle est chaude et bonne. "Qui ça ?" demande t-il l'air tout fier de sa blague.

On s'exhibe sur la plage libertine


Quand nous remontons sur le sable, les spectacles se multiplient, drainant toujours des foules de mecs en rut. Nous nous allongeons sur les serviettes et observons à distance une petite jeune femme brune, avec de gros seins ronds et un cul à l'avenant qui taille une pipe à son petit ami.

"Ça te dit, une exhibe ?". Louis semble interloqué par ma proposition. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Après tout, il est allongé, je suis nue. Je n'ai "plus qu'à". Sans lui demander son avis, j'enjambe son visage pour plaquer doucement ma chatte sur sa bouche. Je sais qu'il n'y résiste pas. Il commence à lécher doucement mon clitoris.

De la main gauche, il caresse mes seins. De la main droite, il se branle lui-même. Mon regard part vers des voyeurs qui, quelques mètres plus loin, se masturbent en regardant deux couples qui coquinent ensemble. Mais bien vite, à mesure que mon plaisir monte en moi, des gars se rapprochent de nous. Bientôt, ils sont une dizaine à se branler, là, à un mètre de moi. Cette situation me rend dingue.

Mon bassin s'agite en tout sens et ma chatte commence à écraser le visage de mon coquin. Il donne tout, varie les caresses, suce littéralement mon clito, enfonce ensuite sa langue en moi. J'accroche le regard d'un voyeur, un type de la soixantaine, au moins, qui comprend que je le regarde. Ses yeux deviennent comme fous.

Il s'approche de moi et lance sa main vers mes petits nichons. Je jouis, il jouit, m'aspergeant la poitrine d'une incroyable quantité de sperme. Je m'affale sur Louis, vaincue. Des applaudissements retentissent. Au bout de quelques minutes, je parviens à me relever, les voyeurs sont déjà repartis vers un autre spectacle.

Je vais me laver dans l'eau de mer, puis me rincer à la douche. Louis, par contre, n'a pas joui. C'est bien, il faut qu'il garde des forces. Car, ce soir, nous allons en club échangiste.

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