Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

dimanche 8 septembre 2019

mes vacances au Cap d'Agde (2) partouze au Jul's

J'en ai fait du chemin depuis que j'ai abandonné ma vie puritaine. Au Jul's, un club échangiste du Cap d'Agde, je fais connaissance avec l'ambiance hyper partouzeuse du lieu. Même Louis, mon coquin actuel, ne me reconnaît pas.

Les libertines du Cap d'Agde


On dit que le village naturiste du Cap d'Agde est le seul endroit au monde où on s'habille pour aller baiser. C'est vrai. Et ce n'est pas cette première soirée dans la capitale du libertinage qui va démentir cette réputation. Après nos cabrioles érotiques sur la Baie des Cochons, Louis et moi partons pour le fameux défilé libertin du début de soirée.

Il faut venir manger au moins une fois dans sa vie, l'été, dans le quartier naturiste. D'abord, si la haute gastronomie n'est pas au rendez-vous et que le rapport qualité/prix n'y est pas idéal, on n'y trouve pas les attrape-touristes du reste de la région. On mange plutôt bien, et pour pas si cher que ça.

Ensuite, voir les couples libertins défiler dans les tenues les plus excentriques et/ou affriolantes vaut vraiment le coup d’œil. Je suis toujours fascinée par les lourdes poitrines de certaines libertines. Ici, elles sont exhibées bien plus que si elles étaient nues.

En plus, on se retrouve souvent à partager une table avec d'autres libertins et on peut échanger les bons plans. Ceux qui sont en face de nous, un couple espagnol jeune et sexy, nous confirme que le Jul's, le club échangiste où nous envisageons de passer la soirée, est le plus actif, sexuellement parlant, de tout le village.

Un café enfin avalé, il est donc temps pour nous de prendre congé de nos libertins ibériques, non sans avoir échangé nos numéros de téléphone, pour filer donc vers le club le plus coquin du Cap d'Agde.

Petite salle, grosse partouze


On m'a tellement parlé du Jul's que je dois dire que je suis un peu déçue : j'avais imaginé ça un peu plus grand. Mais qu'importe. Quand on veut coquiner, mieux vaut que l'espace ne soit pas trop grand. Et cette théorie va très bientôt se confirmer. Si, sur la piste de danse, les choses ressemblent, en un peu plus coquin, à n'importe quelle discothèque, la seconde partie de la boîte, les coins câlins, est le théâtre d'une partouze sans cesse renouvelée.

Moi qui croyais, depuis quelques années, en avoir vu de toutes les couleurs, je dois bien dire que l'ambiance des alcôves du Jul's est à couper le souffle. Sur chaque banquette, sur chaque lit, des couples trop serrés s'envoient en l'air tous ensemble. 

Avec Louis, nous visitons tout le club avant qu'un couple ne jette son dévolu sur nous. Ils sont français, doivent avoir la trentaine. Lui est grand (j'aime !), cheveux châtain et une belle musculature fine. Elle est brune, de taille moyenne, de jolis seins ronds de taille moyenne et un regard qui dit "sexe".

On coquine d'abord debout, puis on se trouve une petite place sur une banquette où deux autres couples ont déjà commencé. Finalement, nous partouzons tous les huit, de telle sorte qu'un spectateur extérieur ne saurait plus dire qui est venu avec qui. En plus du premier couple, il y a des jeunes un peu ronds de la vingtaine et un beau couple de quadra ou quinquagénaires.

A un moment, je me retrouve prise en levrette par le monsieur le plus mûr, qui se démène comme un beau diable à me baiser, tandis que la trentenaire aux seins ronds prodigue une cravate de notaire au mec de 20 ans et quelques. A chaque fois que son gland sort d'entre les nichons de la libertine, j'y passe un coup de langue, ainsi que sur les tétons de la coquine.

Orgie lesbienne sur un canapé


Je ne sais pas combien de temps a duré cette partouze. Sans doute une heure, peut-être plus. Et, faute de combattants, nous nous séparons bons amis. Louis aussi a rendu les armes, aspergeant la lourde poitrine de la quinquagénaire de son sperme. Elle semble ravie de l'hommage rendu.

J'ai joui des coups de bite du mari de cette dernière. Mais, comme mue par une force insoupçonnée, j'ai encore envie de sexe. Louis part fumer une clope dans l'espace fumeur. Je poursuis seule mes investigations. Je me retrouve face à une sorte de canapé rond où quatre femmes s'amusent entre elles. Il y a là une grosse nana de la trentaine, une black athlétique et deux femmes plus quelconques. 

Toutes les quatre vont se gouiner pendant quelques minutes, jusqu'à ce que la plus grosse tende la main vers moi et m'attire vers elle. Je ne me définis pas comme bisexuelle. J'aime trop les hommes et leurs bites pour ça. Mais je me laisse faire de bon gré. Très vite, je me retrouve la tête entre les grosses cuisses de la maîtresse-femme. Je lèche du mieux que je peux, quand je sens une langue s'insinuer entre mes fesses.

C'est celle de la blackette, qui passe des tétons de l'une des "lesbiennes" à mon petit trou. Je regarde une seconde autour de moi. Deux maris font la police et empêchent les hommes de se mêler à nous. Louis regarde, tout sourire. D'autorité, la grosse replace ma tête entre ses cuisses. OK, ma cochonne, je vais te lécher, mais à charge de revanche.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si ce texte vous a plu (ou déplu), je serais heureuse de lire vos commentaires. Ne soyez pas (trop) vulgaires, je suis une femme libérée, pas une salope.