mes débuts dans le libertinage (2) la bite de Damien

Je fantasme sur Damien. Mais il est marié. Pourtant mon désir ne fait que grandir. Et lui ne semble avoir d'yeux que pour sa femme. A moins que ? Le père parfait et l'amoureux délicat cache t-il aussi un amant aux qualités exceptionnelles ?

S'habiller sexy. Oui, mais pourquoi ?

Les beaux jours arrivent sur la France. Le repas de fin d'année de l'école s'annonce, ainsi que les vacances scolaires. Imperceptiblement, je m'habille de plus en plus sexy. Certes, il fait beau et chaud, mais tout de même. Moi, la pudique, je porte des jupes de plus en plus courtes qui mettent en valeur mes longues jambes, des chemisiers que je boutonne plus ou moins bien pour laisser deviner ma poitrine pourtant menue.

Qu'est-ce qui m'arrive ? Je suis devenue ce que je ne veux pas être : une femme qui désire l'homme d'une autre. Et si ça marchait ? Je rêve peut-être, mais j'ai cru percevoir, chez l'objet de mes pensées les plus érotiques, quelques regards que je rêve lubriques. Je commence à me prendre au jeu. Chaque fois que je le rencontre, je guette tout ce qui pourrait être la manifestation d'une envie de lui à mon égard.

Puis, je rentre chez moi et je me caresse en pensant à lui. J'ai même laissé tomber les sites de rencontres sérieuses. Au lieu de ça, je passe mon temps sur des sites coquins, cherchant un acteur qui ressemblerait un peu à Damien.

Vous avez déjà remarqué que, dans le porno, tous les mecs ont une bite énorme ? Franchement, je ne trouve pas ça très excitant. J'aimerais voir des hommes de tous les jours. Alors, il reste le porno amateur, mais, très honnêtement, on y trouve des scènes pas franchement ragoutantes.

Seule avec lui

Mais je m'égare. Je me suis tellement plainte de devoir me taper toute la comptabilité en retard de l'association que Damien, toujours aussi bonne poire, s'est proposé de venir m'aider. L'occasion est trop belle, je l'invite chez moi, tout en n'omettant pas de convier sa femme. Celle-ci décline, elle bosse à cette heure-là.

La veille du rendez-vous, c'est le repas de l'école. Ma copine Nadège me charrie sur ma future rencontre avec le seul mec de notre bande. Elle aussi est divorcée et ne se cache pas d'apprécier la présence d'un homme parmi nous. Elle est beaucoup plus coquine que moi. Elle assume de vouloir faire de Damien son "quatre-heures", même si je sais bien qu'elle ne passera jamais à l'acte. Toujours est-il que, pour moi, la pression monte.

Mais jamais, je peux vous le jurer, je n'ai envisagé qu'il se passe vraiment quelque chose lors de notre rendez-vous "compta". D'ailleurs, le boulot est vraiment énorme. Tous les bénéfices de la kermesse doivent être classés, ainsi que les dépenses liées aux différents voyages de fin d'année.

N'empêche que j'ai choisi avec soin ma tenue. Il regarde souvent mes seins ? Je déboutonne un peu plus mon chemisier. Il reluque mes gambettes et mes fesses ? Ma jupe sera aussi courte que près du corps. Mais voilà, Damien sonne à l'interphone. Je sens mon cœur battre la chamade.

J'ai un amant

J'ai du mal à me concentrer sur les chiffres, à tel point que j'ai peur de passer pour une gourde auprès de Damien. Lui, comme à son habitude, reste calme et posé. Il m'impressionne vraiment. Je rêve d'avoir un amant comme lui, un type aussi intelligent que gentil, que je puisse admirer. Et un type aussi fidèle... Fidèle oui, il est marié, avec un enfant. Il faut que je me calme.

"Tu veux bien m'excuser une seconde ?". Je file vers ma salle de bain. Je me regarde dans la glace. J'ai honte de moi. Tout en me dévisageant, je me murmure à moi-même : "mais pour qui tu te prends ?  tu ne vas pas briser une famille ? et puis quoi, est-ce que tu le fais seulement bander ?".

"Tu vas bien ?" demande Damien, derrière la porte. Je suis mortifiée. J'espère qu'il n'a rien entendu. Il entre dans la salle de bain, que je n'ai pas verrouillée. Il me fait face, à travers le miroir. Il me regarde dans les yeux, son doux sourire de papa idéal tout disposé à recueillir mes états d'âme. Je fixe son regard. Il pose ses mains sur mes épaules, et je frissonne.

C'est comme dans mon rêve, à l'exception que je suis habillée, et lui aussi. Mais pas pour longtemps. Il m'embrasse dans le cou. Sa main passe sur le tissu de mon chemisier puis trouve un passage  à travers les boutons. Je ne sais comment réagir, je me laisse faire. Il caresse la naissance de mes seins et continue à embrasser mon cou et mes épaules qu'il dénude petit à petit.

Quelques minutes plus tard, je suis topless. Je me retourne vers lui. Nous échangeons un baiser. Il se montre aussi fougueux que délicat. Je le regarde dans les yeux. Il sourit encore, comme s'il avait toujours su que tout cela allait un jour se produire. Puis son visage descend vers ma poitrine.

Habituellement, les hommes ne s'attardent pas sur mes seins trop petits. Ils sont pourtant très sensibles et très érogènes. De ses caresses buccales sur mes tétons tendus, il va presque arriver à me faire jouir. Mais je veux sentir sa peau sur la mienne. Je retire son T-shirt et je colle mes nichons contre son torse. Il est un peu plus grand que moi, on s'embrasse et on s'enlace. Son torse d'homme, poilu juste ce qu'il faut, caresse ma peau de femme.

Je le sens en moi

Je veux reprendre les choses en main. Je l'attire à ma suite vers ma chambre. Là, je tombe la jupe et le string. Nos caresses et nos baisers nous allongent sur le lit. Damien continue à me titiller les seins, avec passion et doigté. Puis sa bouche descend. De proche en proche, il atteint mon sexe palpitant de désir. A peine a t-il entamé ce cunnilingus expert que l’orgasme envahit chaque particule de mon corps.

Son visage réapparaît. Je le veux en moi. Je me contorsionne jusqu'à sa ceinture, sa braguette et parvient à le déshabiller entièrement. Première surprise : sa bite est belle, grosse, longue et tendue, comme celle des acteurs de film porno. Je la prends en bouche. Je m'efforce de me montrer aussi douée de ma langue que lui de la sienne.

Seconde surprise : Damien se baisse vers son pantalon et tire de sa poche l'étui d'un préservatif. Je ne dis rien. Il l'enfile avec l'habileté de ceux qui en ont l'habitude. Il va me prendre. Et moi, je veux qu'il me baise. Notre étreinte va durer longtemps. Moi qui n'ai jamais pu jouir plus de deux fois à la suite, je perds le compte. Il finit par jouir, en moi, et je suis heureuse.

Puis ce bonheur laisse place à la vergogne. Alors qu'il se rhabille, je lui demande s'il ne se sent pas coupable vis-à-vis d'Audrey, sa femme. Il me sourit à nouveau. "Ne t'inquiète pas. Je lui dirai tout. Il ne faut pas t'en faire. Elle le sait déjà, de toute façon". Je le regarde, stupéfaite.

à suivre