Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

samedi 30 novembre 2019

mes vacances au Cap d'Agde (7) une pipe sur la Baie des Cochons

Les vacances s'achèvent. Louis et moi partons une dernière fois pour la plage naturiste, côté Baie des Cochons. Pour faire plaisir à mon coquin, je vais lui tailler une pipe devant les voyeurs. Mais un événement inattendu va venir pimenter cette simple fellation exhibitionniste.


Fin de vacances libertines


Dernier réveil dans le camping-car. Notre séjour au Cap d'Agde prend fin. Ces vacances ont été l'occasion de vivre des aventures inoubliables et de remplir notre sac de souvenirs érotiques impérissables. Pourtant, il faut déjà partir. Nous rangeons un peu notre matériel, ce qui, l'air de rien, prend pas mal de temps. Nous saluons nos voisins et prenons, au pas, la direction de la sortie du camping.

A la sortie, un homme, bien connu pour être un militant du naturisme "no-sex" nous fait signe de baisser la vitre. Il nous salue à son tour et nous souhaite bonne route. Puis, il se ravise : "vous savez, si vous voulez en profiter encore un peu, vous pouvez vous garer là (il indique du doigt un emplacement)". Merci, c'est très gentil, mais nous avons une longue route à faire... Et puis, après tout, nous trouverons bien, dans le pire des cas, une aire de camping-car sur le chemin du retour !

C'est décidé. Nous allons profiter une dernière fois de la Baie des Cochons. Le plaisir de vivre nus, la douceur d'être entourés d'autres libertins et libertines, la mer : tout ça ne se quitte pas aussi facilement. Nous garons donc le camping-car, retirons nos vêtements et posons à nouveau le pied sur le sable chaud de la plage naturiste.

Retour sur la Baie des Cochons


D'après nos calculs, nous avons deux bonnes heures devant nous si nous voulons espérer être rentrés à une heure décente. Nous allongeons donc le pas en direction de la partie libertine de la plage. Le soleil cogne fort. Mais, déjà, des dizaines de couples se font dorer la peau, entourés de leur cohorte d'hommes célibataires et voyeurs. Nous nous baignons quelques minutes puis retournons à nos serviettes.

A notre gauche, une libertine branle et suce son mari qui, de son côté, se rince l’œil sur une naïade installée juste en face de lui. Je tente d'accrocher le regard de l'une ou de l'autre, histoire de mettre un point final partouzeur à ce séjour de rêve. Mais non, rien n'y fait, chacun continue à vaquer à ses occupations coquines.

Pourtant, j'ai envie de marquer le coup. Je ne veux pas quitter ce paradis du sexe sans avoir fait quelque chose, sans avoir une dernière aventure à raconter à mes amis libertins. De son côté, Louis semble aussi très chaud. Il me caresse la cuisse tout en regardant notre voisine de plage s'occuper du sexe de son mari. Et cela le fait carrément bander.

Et si je te taillais une pipe ?


Un sourire nous suffit à nous comprendre. Louis s'est installé sur la serviette, sur les genoux. Sa belle bite tendue vers moi, je n'ai plus qu'à me pencher pour l'embrasser du bout  des lèvres. D'une main, je caresse ses couilles. De l'autre, je m'appuie sur son torse. Enfin, je prends son gland dans ma bouche, tortillant de la langue comme si je lui roulais une pelle. Sa queue a ce petit goût de sel que laissent les bains de mer.

Cette pipe ne me suffit pas. Après tout, il n'est pas rare, sur la Baie des Cochons, de voir une libertine s'occuper ainsi de la virilité de son mari. Pourtant, je sens déjà que des voyeurs s'attroupent autour de nous. Nombreux sont ceux qui ont pris place derrière moi. Alors, je soulève les fesses, j'écarte un peu les cuisses et je cambre le dos pour leur offrir la meilleure vue possible.

J'entends des commentaires. "Oui, vas-y, suce-le bien !" ou encore "mais quel cul elle a, cette cochonne !". Les mots sont crus, mais sont plus empreints, à ce que j'en perçois, d'une forme d'admiration que de vulgarité. Je m'efforce de me montrer à la hauteur de mon public. Bientôt, le sexe de Louis disparaît entièrement dans ma bouche. C'est bien simple, mes lèvres touchent même ses couilles.

Quand un couple nous rejoint


Absorbée autant par la pipe que par l'exhibition, je ne perçois plus totalement tout ce qui se joue autour de nous. J'entends Louis grogner, signe qu'il va bientôt jouir. Je décide de prolonger un peu le plaisir. Je relève la tête pour regarder un peu les voyeurs. Surprise : il se trouve là au moins une demi-douzaine de couples, mêlés aux hommes célibataires en branle.

Mieux : alors que je continue à le caresser, Louis a lancé sa main jusqu'aux cuisses et aux fesses d'une jeune femme. Elle est un peu ronde, pas plus jolie que ça. Mais je me dis que cela fait un bout de temps qu'il la pelote, alors que je suis occupée à le sucer. Et ça m'excite. Je repère le compagnon de la coquine. Je lui fais signe de venir plus près de moi. Lui aussi arbore une érection bien vaillante. Sans lui offrir le temps de s'asseoir, je le suce à son tour. De son côté, Louis embrasse la libertine à pleine bouche et lui caresse ses gros seins.

A un moment, la coquine va demander : "on s'isole un peu ?". Non, pas question. Je fais semblant de ne pas entendre, tout en signifiant à son mari de s'occuper aussi un peu de moi. Je suis toute excitée. Non loin de nous, des mecs éjaculent déjà sur le sable chaud. Pour une dernière partouze avant de quitter le Cap d'Agde, je dois dire que je suis servie.

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