Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

samedi 23 novembre 2019

deux amants en club échangiste

Un samedi où j'étais libre de mes obligations parentales, Pascal, un des mes coquins, m'a proposé une sortie en club échangiste. Ce qu'il ignorait, c'est que, ce soir-là, j'allais faire la connaissance de Louis, qui allait devenir mon amant le plus régulier.

Pascal, amant infatigable


Je ne vous ai pas encore présenté Pascal qui, pourtant, tient une grande place dans ma vie de libertine. A vrai dire, je ne l'ai pas revu depuis un moment. Je crois, même s'il ne l'a jamais exprimé ainsi, que nos rapports se sont distendus lors de la soirée que je vais vous raconter ici-même.  En tout cas c'est comme ça que j'imagine les choses.

J'ai rencontré Pascal sur un site de rencontres libertines. D'habitude, je ne réponds que rarement aux sollicitations des hommes célibataires, sur ce genre de sites. Pourtant, comme celui-ci exposait son visage sans se cacher, et que ce visage m'a paru sympathique, j'ai accepté de discuter avec lui. Pascal est prof de sport. C'est un homme de la trentaine, grand, baraqué, très entretenu. Très vite, je lui ai proposé qu'on se voit.

Dès le premier soir (que je vous raconterai ici un jour), Pascal s'est montré un amant imaginatif, vigoureux et surtout très endurant. C'est bien simple, nous avons baisé toute la nuit, Pascal "remettant le couvert" pas moins de six fois. Une fois n'est pas coutume, c'est moi qui ai du lui demander grâce, épuisée que j'étais de nos folles chevauchées.

On va en club échangiste ?


Donc, ce samedi matin là, Pascal m'envoie un texto : "tu es libre ce soir ?". Je n'hésite guère. Je n'ai rien prévu. "Je t'emmène en club ?" propose t-il. L'idée me paraît séduisante. En réalité, je sais bien que mon coquin a besoin d'une femme pour rentrer dans le club, puisque c'est soirée "couples", le samedi. Mais je me dis que, au moins, si je ne trouve pas chaussure à mon pied, je pourrai toujours me rabattre sur cet infatigable baiseur.

Pascal passe me chercher. Nous passons un agréable moment à rouler jusqu'à la petite bourgade où se tient le club libertin en question. Ah oui : j'ai oublié de vous préciser que Pascal est un homme cultivé, à la conversation intéressante et doté d'un solide sens de l'humour.

"Femme qui rit à moitié dans ton lit" dit-on. En ce qui me concerne, c'est assez vrai. Et comme il me pelote la cuisse - et plus avant - tandis qu'il conduit, je commence à me sentir émoustillée. A lui aussi, je fais de l'effet. Je peux m'en assurer en posant ma main sur la bosse de son pantalon. C'est ainsi que, à peine arrivés dans la discothèque, nous trouvons un lit pour nous envoyer en l'air tous les deux.

Un couple nous regarde baiser


Nous choisissons donc un lit qui se trouve dans un espace commun. On ne sait jamais : un couple mignon peut avoir envie de nous y rejoindre. Alors que Pascal me prend en levrette, effectivement, un étrange duo s'approche du lit. Ils nous regardent, semblant ne pas savoir bien comment se comporter. Elle doit avoir la cinquantaine. Elle est toujours belle, malgré les affres de l'âge. Lui doit avoir pas mal d'années de moins. Il me sourit, tandis que j'encaisse avec délice les coups de pine saccadés de mon baiseur.

Mais le couple n'ose pas. Ce petit manège va durer un long moment. De mon côté, j'attends de Pascal qu'il leur adresse un signe pour les inviter à nous rejoindre. Mais rien ne se passe. Je me dis que mon amant n'aime pas les "vieilles". Ça me déçoit un peu, car je la trouve bandante malgré son âge. Et puis, alors que mon excitation monte en même temps que mes préventions sociales reculent, je me décide à leur faire signe d'approcher.

Ils ne tardent pas à nous rejoindre sur le lit. Bien vite, j'ai la queue de Louis en bouche, tandis que Pascal continue à limer comme il sait si bien le faire. Je devenir que, sans arrêter sa délicieuse besogne, il roule des pelles à la libertine, qu'il la caresse : je ne sens plus qu'une main sur moi, qui voyage de mes hanches à mes fesses.

L'échangisme, version classique


Nous allons échanger les partenaires. Pascal, plus séduit par la dame que je ne le pensais, va s'occuper d'elle. Quant à moi, je remarque vite la qualité des caresses de celui que je n'appelle pas encore Louis. Ses mains vagabondent sur mon corps et ne se limitent surtout pas aux zones érogènes les plus évidentes. Je suis séduite, bien qu'un peu frustrée de repartir de zéro, pour ainsi dire, en fait des préliminaires.

Pour une fois, donc, c'est madame (c'est-à-dire moi) qui va accélérer le mouvement. Je suis passée à quelques coups de bite d'un orgasme pendant la levrette de Pascal, il va falloir que son remplaçant assure ! Et je ne suis pas déçue. Sans cesser de parcourir mon corps de ses mains et de sa bouche, Louis s'introduit en moi. Sa pénétration est moins mécanique que celle de Pascal, plus sensible, moins prévisible.

Et comme je suis déjà à fleur de peau, je pars au bout de quelques courtes minutes. Mais mon cri de joie est couvert par celui, plus aiguë, plus strident même, de la dame que Pascal besogne à côté de nous. J'ai l'impression qu'elle en rajoute car, quand j'ai déjà repris mes esprits, elle en est encore à beugler comme une damnée.

Deux mecs rien que pour moi


Mais non, elle n'a pas du simuler, ni même en rajouter. Elle reste là, affalée sur le lit du club échangiste, manifestement épuisée. D'ailleurs, elle va prendre congé de nous, prétextant l'impérieuse nécessité de prendre une douche. Me voilà donc, boostée par un orgasme électrisant, avec les deux gars, dont aucun des deux n'a encore joui.

Entre la force brute, mais respectueuse, de Pascal et la finesse très virile de Louis, me voici au paradis des sens. Durant toute la nuit, les deux hommes vont rivaliser de vigueur et d'imagination, comme si une compétition sourde, mais impitoyable, s'était instaurée entre eux. Et moi, je suis aux premières loges, profitant de la rivalité cordiale qui agite les bassins, mais aussi les doigts et les langues de mes deux amants.

Après quelques heures de ce régime, je vais devoir rendre les armes, épuisée à mon tour de trop de plaisir et d'efforts physiques. Mais pour les récompenser de s'être autant "donnés", je vais leur offrir ce que Pascal me demande depuis quelques mois déjà : la possibilité de jouir sur ma poitrine.

Le bukkake


En fait, je n'ai jamais réellement fait ça. Bien sûr, ça a pu arriver par accident. Mais le fait de recevoir une éjac sur le corps me dégoûte. Je trouve ça dégradant. Pourtant, j'en suis à caresser les couilles de deux hommes qui se branlent face à moi, le gland tourné vers mes petits nichons. C'est Louis qui jouit le premier. Et comme s'il s'était agi d'une course à l'envers, Pascal gicle à son tour.

Je ne saurais dire pourquoi, mais la sensation de leur sperme chaud sur ma peau me ravit. Pour tout dire, j'aimerais presque que d'autres hommes viennent ajouter leur semence à la leur. Je me sens bien, comme récompensée. Pas sale du tout. Enfin, je vais tout de même prendre une douche.

C'est d'ailleurs dans la salle de bains du club échangiste que Louis me demandera mon numéro de téléphone.

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