Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

samedi 16 novembre 2019

trio HFF avec un couple mélangiste

J'avais laissé mon numéro de téléphone à Stéphanie et Christophe. J'ai bien fait. Le couple mélangiste m'a invitée, elle et mon coquin, à les rejoindre chez eux pour une soirée libertine à quatre. Louis m'a fait faux bond. Et il le regrettera sans doute en lisant ce récit.


Seule chez un couple libertin



Voilà bien une situation qui me rappelle quelques souvenirs. Me revoici en licorne libertine, comme à mes débuts avec Audrey et Damien. Mais cette fois, ce n'est pas faute d'avoir proposé à mon amant de venir. Quand j'ai demandé à Louis de m'accompagner chez Stéphanie et Christophe, il a d'abord été enthousiaste. Quand je lui ai précisé qu'ils étaient mélangistes, il a finalement décliné l'invitation.

C'est donc seule, mais armée d'une certaine libido et d'une envie folle de retrouver les bras de Christophe, que je me suis présentée chez le couple. C'est lui qui m'ouvre tout sourire. Il est moins charmant que dans mes souvenirs. Et pourtant, déjà, quelque chose de magnétique s'opère entre nous.

Puis Stéphanie vient me faire la bise. Sa peau m'apparaît d'une douceur étonnante. Elle est là, telle qu'en elle-même, superbe : ses longs cheveux noirs tombent sur un décolleté qui révèle des seins ronds et fermes, surplombés d'un délicieux grain de beauté. Elle me regarde longuement, d'un air bienveillant.

Mon couple mélangiste a lu mon texte. Et ne se prive pas de me charrier sur le désir qu'a suscité en moi la rencontre avec Christophe. Je tente de déceler dans l'humour de la libertine une pointe de jalousie. Mais il me semble bien que non. Je suis rassurée. Elle a compris où je voulais en venir.


Apéro libertin, mais timide


Nous nous installons dans le salon du couple. Et nous parlons libertinage. Ils me parlent de mon blog, de ma motivation à écrire ces textes érotiques. Puis, à leur tour, ils me racontent les épisodes les plus fameux de leur vie libertine. Je dois dire que c'est plus agréable que les sempiternelles blablas sur les sites de rencontres ou sur les profils des uns et des autres.

Alors qu'il caresse la cuisse de sa femme, je regarde Christophe. Qu'on me comprenne bien : il est loin d'être laid. Disons qu'il a un physique moyen. Je veux dire qu'en comparaison avec la plastique de sa femme, le libertin ne paie pas de mine. Qu'il ne se sente pas vexé : pour séduire une aussi belle femme que Stéphanie, il faut avoir un truc en plus. Un mojo, un papayou, je ne sais pas moi !

Car oui, Stéphanie, je l'ai déjà dit, est une belle femme. Du genre qui fait se retourner tous les mecs dans la rue. Relativement grande, mais pas tant que ça, fine, mais pas trop, elle a un visage d'actrice de cinéma et un corps de starlette du porno !  J'imagine un peu le succès qu'elle rencontre, dans les clubs libertins. Si on ajoute le charisme de Christophe, je me demande bien ce que ce couple a bien pu me trouver !

D'ailleurs, puisqu'on en parle, l'ambiance n'est pas particulièrement chaude, pour l'instant. Je suis dans un canapé, eux dans un large fauteuil et on ne fait que discuter. Nous sommes tous les trois frappés de timidité. A moins qu'ils n'aient pas envie de moi ?


Préliminaires entre femmes


Je vais bientôt être rassurée. Profitant d'un aller-retour à la cuisine pour ramener quelques petits fours, Stéphanie s'installe finalement juste à côté de moi. Malgré la largeur du canapé, je sens sa cuisse caresser la mienne. Je me sens toute petite. Je suis pourtant un peu plus grande qu'elle. Mais elle m'impressionne. Quand elle pose sa main sur ma peau nue, je frissonne. Elle le sent.

De but en blanc, elle demande : "ah oui, c'est vrai, tu n'es pas bi". Je bredouille. Les mots s'échappent de ma tête sans emprunter le passage normal, la voix. Je dois avoir l'air d'une bécasse de premier choix. Je réponds que si, que tout dépend de la femme. Elle s'assombrit. Elle doit se dire qu'elle ne me plaît pas. Pourtant, qu'est-ce que j'ai envie d'elle !

Je décide de prendre les choses en main. Je caresse sa joue. Elle est toujours aussi douce et veloutée. J'approche ma bouche de la sienne. D'un geste aussi sûr qu'il m'est possible, je pose mes lèvres sur les siennes. Elle me regarde, étonnée : "tu n'es pas obligée, tu sais ?". Je n'y tiens plus : je retourne à sa bouche, mais cette fois les lèvres ouvertes. Incroyable, même sa langue est douce comme du velours. Nous nous enlaçons. Je ne sais comment les vêtements volent à travers le salon. Nous nous retrouvons seins contre seins, bouche contre bouche, vulve contre vulve.

Après avoir tété mes aréoles, la bouche de Stéphanie descend de plus en plus. Sa langue frôle à peine mon clito que je sors de moi-même. Un  orgasme violent me saisit, comme par surprise, et la belle libertine n'en rate pas une miette. Je ne sais combien de temps vont durer mes convulsions. J'ai cette impression étrange que c'est à la fois bref et interminable. Quand je reviens à moi, elle est toujours là, à embrasser l'intérieur de mes cuisses et à caresser mon ventre, qui peine à se remettre de ses soubresauts.


Je fais jouir une autre femme


Stéphanie remonte doucement le long de mon corps. Ses seins, fermes et ronds comme des pommes, frôlent ma peau, jusqu'à arriver au dessus de mon visage. Je me blottis entre eux. Je les embrasse. Je les suce et je les empoigne à pleines mains. D'un geste maladroit, je passe ma main entre les cuisses de la libertine. Je trouve enfin son sexe. C'est chaud et humide. J'introduis deux doigts en elle, de sorte que le haut de ma paume vient caresser son petit bouton.

Mes doigts caressent l'intérieur de son vagin. Sa zone G me semble très sensible. Alors j'insiste. Elle se tort de plaisir et manque de m'étouffer dans sa poitrine. Là, j'aspire presque son sein gauche en entier dans ma bouche. Ça a un effet dingue. Elle jouit à son tour. Son bassin se tortille. Elle me tord le poignet tandis que je continue à aspirer son nichon.

Puis elle retombe de tout son poids sur moi. Du coin de l’œil, je regarde Christophe qui se lève et fait les trois pas qui le sépare de nous. Je le perds du regard. Je sais qu'il lui caresse les cheveux, puis le dos, puis les fesses. Stéphanie laisse échapper un petit râle, comme un miaulement. De nouveau, son corps s'agite. Nos jambes se sont entrelacées, comme par magie. Et nos chattes frottent l'une contre l'autre.

Par dessus son épaule, je vois son homme qui se déshabille. Il bande dur. Il ne nous quitte plus du regard. Avec Stéphanie, nous nous roulons une pelle. Avec le glissement de nos clitoris l'un contre l'autre, je sens un nouvel orgasme venir. Celui-ci sera bref, intense, électrique.


En trio avec un couple mélangiste


Après quelques secondes, j'ouvre à nouveau les yeux. La bite de Christophe s'est collée entre nos deux bouches. Alors, nous reprenons nos baisers, nos langues tournoyantes autour du gland du libertin. A ces jeux oraux vont succéder d'autres caresses, d'autres amusements et d'autres voluptés. Tant et si bien que je jouirai encore plusieurs fois cette nuit là. D'abord sur le canapé, ensuite dans le lit conjugal.

Je ne tiens pas les comptes, mais je crois que Stéphanie vivra elle aussi plusieurs nouveaux orgasmes. D'intensité, de longueur et de nature différentes. Christophe, lui, ne jouira qu'une seule fois. Après avoir pénétré sa belle, il va se retirer et m'offrir son éjaculation. Les seins couverts de son sperme, je vais les embrasser tous les deux à pleine bouche.

Il n'empêche. J'aurais voulu qu'il me baise moi aussi.

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