Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

mercredi 20 mai 2020

je me masturbe pendant le confinement

La période que nous venons de vivre n'a été agréable pour personne. Mais, sans vouloir me plaindre particulièrement, elle fut aussi pénible pour moi : une libertine célibataire, qui se retrouve sans contact physique avec des adultes. Heureusement, il me restait la masturbation.


Ma masturbation quotidienne


Commençons par le commencement. Je me suis donc retrouvée confinée, seule avec poussin. Mon patron m'a tout de suite proposé le télétravail, craignant que je fasse valoir mes droits de mère célibataire. J'ai accepté. Je me suis dit, au départ, que nous partions vers deux ou trois semaines de confinement. Pas de quoi s'inquiéter outre mesure.

Régulièrement, je me masturbais dans mon lit, avant de m'endormir. Mais, au bout d'une semaine sans véritable sexe, j'ai ressenti, pour le moins, un picotement entre mes cuisses. Au fur et à mesure que les jours passaient, mes séances masturbatoires sont devenues de plus en plus hard. Je dois bien l'avouer, j'ai essayé pas mal de techniques un peu barrées.

Tout ça a commencé réellement quand j'ai commencé à me pincer assez fort les tétons, en me remémorant ma première expérience de soumise. Une main dédiée à mon clitoris, l'autre à me maltraiter les seins, j'ai vite connu un orgasme violent. Mais ce n'était qu'un début.

Le lendemain, pas mécontente de ma première expérience, je me suis armée de deux pinces à linge, que j'ai, au plus fort de ma masturbation, accrochées à mes seins. La douleur était vive, mais je ressentais un certain bonheur à la ressentir. Je me suis retrouvée à genoux sur mon lit, trois doigts dans ma chatte, et les tétons horriblement douloureux.


Quand tout dérape


Mais cette fois, je ne suis pas parvenue à jouir aussi rapidement. Et ma soif de sexe m'a pour ainsi dire rendue étrangère à moi-même. Comme possédée, j'ai glissé l'autre main vers le sillon de mes fesses. Constatant que je ne pouvais pénétrer mon anus avec mon majeur, je l'ai sucé comme s'il s'agissait d'un membre viril. Puis, je suis retournée à mon cul. Je l'ai pénétré, violemment et là, j'ai enfin joui !

Autant l'orgasme fut formidable, autant une certaine honte m'envahit juste après. Je me sentais lubrique oui, mais un peu malsaine. Je fais un effort pour vous avouer tout ça, car j'éprouve encore de la honte à évoquer ma sexualité pendant le confinement.

Car oui, je suis allée plus loin. Ce fut comme une escalade vers le vice. Mon manque de sexe me faisait totalement perdre le contrôle de ma libido. Au point que je me suis un soir retrouvée en train de jouir avec trois doigts fichés dans mon anus, forcément douloureux.


Exhibition humiliante


J'étais donc mortifiée, juste après l'orgasme, par mes pratiques de plus en plus déjantées. Un soir que poussin était couché, j'ai reçu le coup de fil d'Audrey, qui voulait me parler d'un projet qu'elle avait en tête (je vous en reparlerai bientôt). Je lui ai expliqué ce qui m'arrivait, espérant un soutien de sa part. Après tout, elle avait, elle, bien que confinée, la chance d'avoir Damien à sa disposition.

Le soutien qu'elle m'a apporté ne fut pas celui que j'attendais. J'ai senti sa voix changer au cours de mon récit et de mes explications. Jusqu'à ce qu'elle me dise : "je voudrais bien voir ça". D'un ton qui n'appelait aucune réponse, elle m'a ordonné de me connecter sur WhatsApp. Je l'ai revue, belle et lumineuse, comme d'habitude, et ça m'a fait de l'effet.

Là, la libertine m'a ordonné de me déshabiller entièrement pour elle. J'ai du aussi aller chercher les pinces à linge. Bref, pas à pas, elle m'a fait reproduire devant elle chacun des gestes qui m'amenaient à la jouissance les autres soirs. Sous ses yeux, je me suis torturé les seins, et je me suis littéralement enculée avec mes doigts. J'ai joui encore plus fort que la première fois. Mon orgasme fit vibrer douloureusement les pinces à la pointe de mes seins. Tandis que de la main droite je caressais fiévreusement mon clito, trois doigts s’enfonçaient dans mon anus. Et Audrey m'encourageait.


Les réseaux sociaux libertins


J'avais honte, mais j'étais heureuse d'avoir partagé ça avec elle. D'autant qu'elle m'a immédiatement certifié qu'il n'y avait pas là de quoi fouetter un chat (ni une chatte). Elle fut rassurante, comme à son habitude, m'expliquant que mes pratiques masturbatoires n'avaient rien d'anormal. Pourtant, je sentais un trouble dans sa voix. Elle aussi se masturbait, en me regardant.

Le lendemain, elle m'appela à nouveau pour parler du projet. A la fin de la conversation, elle me dit avoir adoré me voir me masturber. Et que Damien aussi. Comment ? Il était là ? Quelle idiote j'étais ! Bien sûr qu'il est là, confiné comme tout un chacun !

Mais Audrey en voulait plus. Elle me parla d'un plan à quatre, par webcams interposées, qu'elle et son mec avaient eu avec un autre couple libertin. Elle m'encouragea à aller m'exhiber sur les réseaux sociaux libertins. A peine eut-elle raccroché que je me connectais à l'un d'entre eux. Je ne fus pas longue à trouver un volontaire pour me regarder me masturber.

Exhibition devant des inconnus


Il en fut ainsi presque tous les soirs du confinement. En cadrant pour qu'en aucun cas on ne puisse voir mon visage, je me suis masturbée devant de parfaits inconnus. Certains branchaient leurs webcams en retour, d'autres se contentaient de me reluquer. Mais à chaque fois, je me retrouvais humiliée, les doigts fichés dans le cul, à jouir comme la dernière des tordues.

Et tous les soirs, un besoin impérieux de jouir ainsi me faisait y retourner. Je soupçonne même Audrey d'avoir branché quelques copains à elle pour me faire jouir de ma dépravation. La honte s'estompe un peu, d'autant qu'Audrey et Damien me rassurent sur la normalité de la chose. Mais est-ce normal que je mouille rien qu'à vous avouer mes penchants inavouables ?



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