Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

mercredi 25 mars 2020

gangbang avant le confinement

Juste avant que le confinement ne soit imposé, j'ai fait une rencontre très intéressante sur internet. A repenser à cette soirée, j'en suis toute excitée, toute impatiente de pouvoir recommencer. Une bande de jeunes hommes sportifs m'a draguée, et m'a offert le plus beau gangbang dont une femme puisse rêver, à mon avis.

Trois jeunes beaux mecs


Nous sommes en pleine semaine, poussin est couché, et j'en profite pour surfer un peu sur quelques sites de rencontres. Je tombe sur un joli couple, elle rousse, jolie poitrine, joli cul, très exhibitionniste. Lui de taille moyenne, très beau mec. Ils cherchent une femme pour un premier délire à trois. Nous nous parlons par webcam, nous nous exhibons un peu. Madame suce monsieur devant moi, alors que je me masturbe, la cam plongée vers mon entrecuisse. Nous décidons de prendre rendez-vous, mais nos disponibilités ne collent pas. Il faudra se voir après la pandémie...

J'en suis là quand une fenêtre de dialogue s'ouvre. J'ai frôlé l'orgasme, mais il n'est pas venu. Un jeune homme de 24 ans m'aborde : "salut, tu vas bien ?". D'habitude, je réponds peu à ce genre de sollicitations. Mais là, je suis très excitée et la photo de profil me plaît bien. Le gars enchaîne les maladresses : "tu ch quoi ?". Ce genre de questions m'agace : "toi, tu proposes quoi ?". Je crois lui clouer le bec, mais non.

Ruben, c'est son prénom, prétend avoir formé un groupe de jeunes gars qui se ferait fort d'offrir à des femmes libertines leurs fantasmes de pluralité masculine. J'en ai vu d'autres ! Je le laisse parler. Il m'envoie des photos de lui et de ses potes : visages et corps dénudés. La vache, de jolis morceaux que ces gamins ! Je reprends ma petite branlette. Ruben est très brun, joli sourire, un corps svelte carrément "tracé" comme on dit. Gaëtan est plus balèze, mais pas gros : du muscle et encore du muscle. Et Fred semble lui aussi sorti tout droit d'une salle de gym. Pas de gros plans de leurs engins, c'est mieux.

Un groupe de gangbang


Ces jeunes gens sont non seulement à croquer, mais ils semblent aussi très bien organisés. Ils disposent de l'appartement de l'un d'entre eux comme baisodrome. Ils prétendent avoir aussi de l'expérience en matière de gangbang. Et Ruben de me filer le pseudo d'une dame qui pourra se porter garante de leur sérieux. Tu parles ? N'importe qui peut se créer un faux profil ! Mais non, je connais la dame et elle me confirme avoir pris son pied en partouzant avec ces trois-là.


Je fais la maline. A moi, il ne faut pas en promettre. Et trois, sont-ils sûrs d'être suffisamment nombreux pour me partouzer ? Ruben, décidément mûr pour son jeune âge, ne se dégonfle pas : il a encore deux ou trois gars sous le coude, de son équipe de basket. A moi, alors, de ne pas me dégonfler. Je lui demande si mon âge ne dérange pas. Il me répond que non. Et mes petits seins, ce n'est pas un problème ? Non plus.

Rien à faire, il faut assumer. Et d'autant plus que j'ai vraiment envie - même si j'ai un peu peur - de tenter l'aventure. Un rendez-vous est fixé pour le week-end suivant, celui juste avant le fameux confinement. J'ai l'adresse, le numéro de téléphone de Ruben. Je le préviens qu'ils fournissent les capotes. "Bien entendu" répond-il. Je ne me sens plus de me défiler.

Corps de rêve et bites vigoureuses


Au pied de l'immeuble de la garçonnière, une hésitation me prend. Mais de mes appréhensions et de mon excitation, c'est la seconde qui prend le dessus. Je sonne : "c'est Aline". "Oui, monte, cinquième étage, première porte à droite". Une fois sortie de l'ascenseur, j'aperçois Ruben, torse nu dans la porte entrouverte. On se fait la bise et il me fait signe de rentrer. Se trouvent dans le petit appartement 7 gars, pas moins, qui tous sont torses nus, vêtus simplement d'un petit short qui laisse tout deviner de leur virilité.

La bise à nouveau. Quand je pense aujourd'hui aux mesures de confinement, je m'en veux d'avoir cédé à la tentation. Mais je ne regrette pas. Ruben lance à mon adresse : "voilà, nous sommes à ta disposition". Je relève le défi et m'approche de lui. Je caresse un instant son torse glabre. Ses muscles sont longs, mais saillants. Sa peau est douce. Je sens cette petite pointe chaude qui mouille déjà ma chatte. Je lui roule une pelle. Il commence à caresser mes fesses. Nous restons là un instant à nous peloter l'un l'autre, devant six paires d'yeux rivées sur nous.

Sa main a filé vers mon sexe, sous ma jupe. Il sent que je suis mouillée. Il me demande "tu veux qu'on soit doux, ou qu'on te traite comme une salope ?". J'hésite un moment, tandis qu'il agace mon clitoris du bout de ses doigts. "Je préfère la douceur,... en tout cas pour le moment". Tout en parlant, je m'installe à genoux face à lui. Je baisse son short qui dévoile maintenant une bite pas énorme, mais extrêmement dure. Je le prends en bouche et commence à sucer sa belle queue.

Sept jeunes bites rien que pour moi


Les mecs sont impatients. A peine ais-je pris le zob de Ruben entre mes lèvres qu'ils commencent à m'entourer. Les uns ont sorti leurs queues, attendant que je les suce à leur tour. Les autres se sont baissés vers moi, me pelotent et commencent à me déshabiller. Comme demandé, ils sont doux, presque timides. Je quitte la bite de Ruben pour me tourner vers un autre type, bien mieux membré. Lui aussi est athlétique. Lui aussi sent bon et bande dur.

Me voilà entièrement nue, entourée de sept jeunes bites qui ne demandent qu'à être sucées. Ruben, lui, se retire de la ronde pour prendre une capote et se l'enfiler. Il se place derrière moi, caresse longuement mes fesses, que je lui tends avec gourmandise. Tandis que je lèche les couilles d'un jeune arabe à la petite bite, le chef de la bande s'introduit en moi et commence à me limer doucement.

Non seulement les jeunes hommes sont vigoureux, mais ils sont aussi d'autant plus endurants que ce sont des sportifs. Ils vont se relayer en levrette derrière moi pendant deux heures. La chatte et la bouche toujours prises, j'apprécie aussi les caresses et les baisers qui parsèment mon corps, surtout mes seins, toujours aussi sensibles.

Baisez-moi comme une salope


Je prends un plaisir infini à être le centre de toutes ces attentions. Pourtant, je n'ai pas encore joui. Je suis à la limite, constamment. Tout se passe comme si ils s'en rendaient compte et se relayaient dans ma chatte jusqu'au moment crucial. Pourtant non, Ruben semble déçu et inquiet de ne pas parvenir à m'emmener jusqu'à l'orgasme. Mais il a de la ressource : "tu veux une double ?" me demande t-il.

Je ne suis pas une grande amatrice de sodomie. Je le lui explique. Il ne se démonte pas : "on peut être deux dans ta chatte, si tu veux". J'acquiesce. "Choisis tes bites, elles sont toutes à toi". Enfin un jeune homme qui sait parler aux femmes ! Je m'empale finalement sur sa queue, en lui tournant le dos. Le petit arabe pas très bien monté vient le rejoindre dans ma chatte. C'est lui qui marquera le rythme. Et il sait y faire, le salaud. Au bout de deux ou trois va-et-vient, l'orgasme m'emporte, sans que je m'y sois préparée.

A peine remise de mon émotion, je m'entends dire, suffisamment fort pour que les sept mecs m'entendent (et peut-être même les voisins) : "c'est trop bon, les gars, allez-y maintenant, baisez-moi comme une salope". Il ne faudra pas le leur dire deux fois


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