Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

samedi 18 janvier 2020

jeux érotiques entre couples mélangistes (2/2)

La soirée se poursuit entre les quatre couples mélangistes et moi. Mais les jeux conçus par Fred laissent assez vite place à une véritable partouze, pendant laquelle de nombreux tabous vont tomber. Qui a dit que le mélangisme était une version soft de l'échangisme ?


La beurette se masturbe


Tandis que Chérif creuse des joues et semble apprécier de sucer une bite, tout le monde ne porte plus attention qu'à cette pipe entre hommes. Je suis la seule, je crois à remarquer l'effet que provoque cette fellation chez Samia, la femme du pompeur. Elle a commencé à se masturber, ne quittant pas du regard le visage de son homme, plongé entre les cuisses d'un autre mec. A mesure que dure cette caresse buccale, la jolie beurette semble perdre tout contrôle d'elle-même : deux doigts fichés dans la chatte, deux autres massant son clitoris, je vois ses yeux noirs se voiler.

Enfin, Fred, qui se trouve juste à côté de la libertine maghrébine, s'aperçoit de son émoi. Elle est entièrement nue, et pourrait difficilement se montrer plus offerte. Il caresse ses seins, tandis que la pipe homosexuelle s'achève. Tout le monde se retourne alors sur ce spectacle aussi troublant qu'étonnant. L'assemblée trouve Fred embrassant les seins d'une Samia en pleine masturbation, tandis que j'ai, pour ma part, pris la bite du créateur de jeux érotiques en bouche. Je fais attention à ne pas trop bien le sucer, tant il me semble susceptible de partir à tout moment.

La beurette, elle, ne se pose pas tant de questions. La voici qui braille comme une possédée. Je crois savoir reconnaître un authentique orgasme féminin, et celui-ci me semble parfait. Quand elle reprend ses esprits, son chéri s'est placé à ses côtés. Je l'entends lui murmurer : "ça t'a excitée, hein, ma chérie ?".

Partouze mélangiste et bisexualité


Puis le rebeu plonge vers moi. Il me fait recracher un instant la queue de Fred, et me roule une pelle d'une sensualité rare. Il prend la bite dans sa main, la branle un court instant, et la tend vers mes lèvres pour que je puisse lécher le gland pendant qu'il la masturbe. Cette fois, Fred ne tient plus. J'avais raison, il était au bord de la jouissance. Alors que Chérif le branle et lui titille les couilles, le libertin se répand en grands jets, qui viennent me maculer le visage.

Je me retrouve donc totalement barbouillée de sperme. Je redresse la tête, cherchant un mouchoir avec lequel m'essuyer. Je constate que la partie de flèche magique a cessé, pour laisser place à une partouze plus déchaînée encore. Mon amie Stéphanie, par exemple, se trouve à califourchon sur la bouche de la jeune Chloé, qui lui pelote la poitrine tout en lui léchant la chatte.

Je me relève et prend la direction de la salle de bain, toujours couverte du foutre chaud de Fred. Cherchant mon chemin à travers l'enchevêtrement de corps partouzeurs, je croise la route de Christophe. La bouche de Chérif sur sa bite a été remplacée par celles, non moins gourmandes, de Nathalie et de Florent. C'est la première fois que, dans le milieu libertin ou ailleurs, je vois des hommes s'adonner sans complexe à la bisexualité.

La bite de Christophe entre mes fesses


Enfin, je trouve la salle de bain. Dans le miroir, je peux constater à quel point les traces de sperme sur mon visage me donnent l'air d'une folle, d'une nymphomane éprise de sexe. Et je dois dire que ça m'excite plutôt. Pensez : pendant des années, je n'ai été qu'une puritaine coincée. Aujourd'hui, je me retrouve au milieu d'une assemblée de partouzeurs, le visage couvert de sperme dégoulinant.

Je me débarbouille comme je peux. L'air de rien, ce n'est pas si facile que ça à retirer, les hommages d'un homme. Ce faisant, je constate que j'ai le feu au cul. Ou plutôt à la chatte. Je sens cette chaleur qui l'irradie toute entière. La porte de la salle de bain s'ouvre. C'est Christophe, tout braquemart en avant. Sans me demander mon avis, il m'embrasse dans le cou. Puis il saisit mes petits tétons entre ses doigts experts. Je manque de défaillir.

Il continue à m'embrasser le cou et les épaules. Sa main gauche s'est lancée vers mon clito gonflé, tandis que la droite continue à m'agacer les tétons. Je sens son torse contre mon dos. Et bientôt, sa bite entre mes mes fesses. Comme s'il me pénétrait, comme s'il m'enculait à vrai dire, il exerce de lents et longs mouvements de va-et-vient dans la raie de mon cul. Je me sens défaillir. Et ce d'autant plus qu'il caresse mon clitoris avec une dextérité à peine troublée par sa propre excitation. Nous sommes seuls, tous les deux, dans cette salle de bain. Un court instant, je me dis que je l'ai pour moi toute seule : et là, je jouis.

Orgasmes à la chaîne dans une orgie mélangiste


A peine remise de mes émotions, je fais mine de me mettre à genoux sur le carrelage froid de la salle de bain. Je veux lui rendre la pareille, le faire gicler dans ma bouche, voire même sur mon visage comme tout à l'heure l'avait fait Fred, à son corps défendant. Mais il me fait signe que non. Il veut rejoindre le groupe, dans le living. Je le suis sans poser plus de questions.

Nous arrivons juste à temps pour voir Stéphanie, toujours assise sur la bouche de la jeune Chloé, partir dans un retentissant orgasme. Dans la pièce, tout ne semble être que plaisirs. Plaisirs et jouissances. D'ailleurs, je remarque que Fred s'est remis de ses émotions, qui se retrouve en 69 avec la chaude Samia.

Christophe et moi nous jetons à corps perdus dans la mêlée de ces corps pris d'une irrésistible passion pour le plaisir. Comme dans n'importe quelle orgie libertine, les hommes iront davantage avec les femmes, et les femmes avec les hommes. Mais, au cours de cette nuit de volupté, rien ne semblera véritablement interdit. Sauf la pénétration.

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