Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

samedi 26 octobre 2019

soirée gangbang dans un club libertin de Strasbourg

A ma demande, Louis m'a accompagnée, il y a quelques temps déjà, à la soirée gangbang organisée par un club libertin très connu de la banlieue de Strasbourg. Le bilan a été contrasté : un accueil pour le moins étrange d'un côté ; et une bonne soirée de sexe et de pluralité masculine, de l'autre. Mais j'en garde globalement un très bon souvenir.

Libertine malgré tout


Pas facile de concilier les responsabilités de maman célibataire et au travail, et les envies de libertine. Depuis un moment, je regardais le programme des clubs échangistes les plus proches de chez moi. A Strasbourg,  un sauna libertin annonçait "soirée gangbang tous les jeudis". Si l'envie d'expérimenter ce genre de thématiques me tenait depuis un moment (depuis mon premier gangbang, en fait), les sorties en semaine me restaient interdites. Quand l'occasion s'est finalement présentée (les vacances scolaires de poussin chez son père), j'ai demandé à Louis s'il voulait bien m'accompagner jusqu'en Alsace.

Au départ, j'ai cru qu'il refuserait. Après tout, il ne s'était jamais montré trop candauliste à mon égard. Et il préférait de loin l'échangisme et les relations de couple à couple, ce que je comprends très bien. Mais non : mon coquin a été très emballé à cette idée. Le jour dit, j'ai donc revêtu une tenue sexy et nous sommes partis ensemble pour Strasbourg.

Le club-sauna se trouve facilement. C'est d'ailleurs une sorte d'institution du libertinage en Alsace, où les couples préfèrent souvent passer la frontière pour se rendre dans les clubs allemands. Mais ce club libertin là jouit d'une bonne presse et d'une bonne réputation. Pour autant, je ne peux pas dire que l'accueil qui nous a été réservé fut à la hauteur de cette bonne réputation.

Problèmes à l'entrée du club libertin


On sonne à la porte. Quelqu'un vient nous ouvrir. Le type me regarde de la tête au pied. Evidemment, pour faire les quelques pas qui séparent la voiture de l'entrée du club, j'ai mis mon pardessus. Cette évidence paraît échapper au gaillard. Il s'adresse à Louis : "vous savez quel est le thème de la soirée ?". Mon coquin fait oui de la tête. "L'entrée est gratuite, mais nous n'acceptons que les couples participants". Je reprends les choses en main, Louis semble déconcerté par les questions du mec.

Oui, nous savons où nous mettons les pieds, nous nous sommes renseignés. Le type semble sceptique. "Mais vous êtes sûre" demande t-il en s'adressant enfin à moi, "de participer ?". Cette fois, c'est moi qui suis circonspecte. Comment être sûre de quoi que ce soit. Je sais assez bien ce que je veux, encore mieux ce que je ne veux pas, mais de là à être sûre de quoi que ce soit !

Il commence à m'énerver. "Je ne suis sûre de rien. Vous comprenez quelque chose au libertinage ou pas ?". Le gars me dévisage. Il doit sentir la colère qui commence à colorer mes joues. "Dans ce cas, je ne peux pas vous laisser entrer. J'ai plein de clients là-dedans, je ne peux pas les tenir si vous ne faites rien". Là, je suis estomaquée. J'ai juste envie de tourner les talons et de prévenir tous mes réseaux du comportement de cet abruti. Mais la route a été longue. Alors je fais face, ainsi que Louis.

"Alors, écoutez-moi bien : je ne suis pas une pute. Je fais ce que je veux, avec qui je veux". Et Louis de surenchérir : "vous êtes le patron ici ?". Le gars fait grise mine. Il se lève et appelle quelqu'un, à l'intérieur du club. Une femme arrive presque immédiatement. Nous lui exposons le problème. Elle blêmit. Dans un sourire gêné, elle nous invite, d'un geste de la main, à entrer, en s'excusant de l'attitude de son collègue.

Soirée gangbang en club-sauna


Inutile de vous dire que, après un tel épisode, je ne suis pas dans les meilleures dispositions pour coquiner. Louis, quant à lui, ne décolère pas. Celle qui semble être la patronne, derrière le bar, s'en aperçoit facilement. Elle nous apporte deux cocktails, "offerts par la maison, pour nous faire pardonner". Mouais. N'empêche que le gars de l'entrée avait des consignes. Qu'il a appliqué comme un imbécile, certes, mais il avait bien des consignes.

Je goûte le cocktail. Pas mauvais. Et, enfin, je lève les yeux pour me rendre compte de la situation. Il y a des mecs seuls partout. Des dizaines de mecs, qui épient les faits et gestes de seulement trois couples : nous, un couple mature avec une femme très ronde et un couple plus jeune avec une petite rouquine assez maigre.

Je n'ai pas encore complètement décoléré. Et j'ai l'esprit de contradiction. Et si on allait draguer la jeune rousse, histoire de ne pas nous conformer aux attentes du beauf à l'entrée ? Elle et son mec, un jeune geek à la mine sympathique, boivent également un verre. Nous nous approchons de leur table et demandons si nous pouvons les rejoindre. Ils semblent ravis. Je me demande comment et pourquoi le mec de l'entrée les a laissés entrer. Ils sont tout timides et n'ont absolument pas l'air d"un couple "gangbang".

Et pourtant, ils le sont. Ils nous font même très vite comprendre qu'ils aimeraient coquiner avec nous, mais un autre soir. Aujourd'hui, c'est gangbang, le soir de la semaine que mademoiselle attend avec impatience. Et à voir le nombre de mecs qui viennent lui faire la bise durant notre conversation, on se dit que la mignonne doit être plutôt gourmande.

Que le gangbang commence !


D'ailleurs, assez vite, manifestement excitée par le défilé de ses prétendants, la jeune femme va prendre congé de nous. Escortée de son petit ami, elle se rend vers les douches, se déshabille entièrement et entre dans le hammam. Le couple est suivi d'une bonne dizaine de gars. Il y en a des jeunes, des beaux, des moches et des vieux. Mais, globalement, c'est plutôt pas mal.

Ceux qui restent appartiennent à deux catégories. Les moins "baisables" (c'est le moins qu'on puisse dire) ont déjà entrepris la dame mûre et imposante. D'autres, plus mignons, observent tous de mon côté. En gros, il ne tient plus qu'à moi de lancer les hostilités. Et c'est quand même pour ça que nous sommes venus.

Nous nous levons donc. A notre tour, nous nous déshabillons entièrement et rejoignons le hammam. La pièce (ou devrais-je dire les pièces) est incroyable. Un véritable dédale, embué de vapeur d'eau. C'est du fond qu'on entend les cris de la donzelle. Nous la retrouvons allongée sur le dos sur une espèce de petite table.

Un mec la besogne comme un beau diable. Sa tête tourne de droite et de gauche pour sucer les bites qui sont tendues vers sa bouche. Ses petits seins ballottent au rythme de la saillie, que viennent caresser de temps à autre des mains de plus en plus nombreuses. Son petit copain, lui, surveille ceux qui veulent la prendre, et tend des capotes aux volontaires.

Trois beaux mecs rien que pour moi


Elle est jolie, ainsi offerte, même si la scène reste d'une vulgarité assez indéfinissable. Ce côté porno et cru m'excite un peu, mais me refroidit aussi. Un mec derrière moi va venir briser cette ambivalence. Il fait mine de vouloir regarder par dessus mon épaule, mais je sens sa bite raide se coller à mes fesses nues. Je me retourne, tout simplement. Là, je fais face à un grand brun, légèrement grisonnant, la quarantaine, avec un joli sourire : tout à fait mon type d'hommes. Il se lance et caresse mes seins. Je lui rends ses caresses et nous nous embrassons.


Ils sont rapides - et nombreux - à essayer de nous rejoindre, difficilement contenus par Louis. Il y a là des mecs qui attendaient leur place auprès de la rouquine et d'autres, venus de l'extérieur, qui nous ont suivis, Louis et moi. J'en éconduis un, puis deux : trop gros, trop moches, trop vieux. J'accepte néanmoins les caresses d'un beau et jeune rebeu. Puis celles d'un autre gars, jeune lui aussi, qui arbore un sympathique sourire.

Sans trop nous éloigner de la rouquine, nous trouvons un coin pour nous amuser. Louis, quant à lui, garde un œil sur moi, mais tente sa chance auprès de la jeune libertine. Je sais qu'il aime les rousses, je ne vais quand même pas le priver. Surtout que les trois mecs que j'ai sélectionnés savent se tenir. Ils sont délicats, caressants, presque même un peu trop timides à mon goût. Mais je ne vais pas me plaindre. Le plus jeune me suce les tétons, tandis que le rebeu me lèche délicieusement. Quant au quadra, je branle sa tige alors qu'il essaie péniblement d'enfiler un préservatif.

La pluralité oui, mais pas avec tout le monde


Pendant sans doute des heures (j'ai vite perdu la notion du temps), les trois beaux gars se relaieront auprès de moi (dans le hammam, puis dans les coins-câlins). Ils vont me prendre, m'embrasser, me lécher, me confier leurs bites à sucer. Le tout sans brutalité, ni violence, je dirais même avec respect, voire tendresse. De temps à autre, un homme ou un autre viendra essayer de se joindre à nous. Je les repousserai tous : trois gars, c'est déjà bien assez pour moi. Au bout d'un moment, le quadra va se charger de les éconduire pour moi.

Mis à part ce petit inconvénient bien naturel, le reste de la soirée n'a été qu'extase. Qui dira le bien-être que ressent une femme comme les autres à se sentir ainsi désirée et comblée par un groupe d'hommes ? Je choisis qui me prend et à quel moment. Je choisis quelle bite caresser ou sucer. Certes, je ne sais pas où donner de la tête, mais c'est précisément cette sensation qui me réjouit.

Mais il fait chaud dans ce hammam. Et je suis toute tremblante. Louis s'en aperçoit de suite. Il vient me proposer de poursuivre les festivités dans les alcôves du club. Mon quadra lui demande si je suis sa femme. Il répond que oui. Je lui réponds que je vais, avec mes trois amants, regagner une pièce plus fraîche mais que, s'il veut rester avec la rouquine, il n'y a aucun problème. Ce qu'il fera.

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