Soirée BDSM en club échangiste
Comme cette semaine, c'était mon week-end "maman", je suis restée très sage. J'en profite donc pour interrompre le fil de mes récits mes vacances au Cap d'Agde et mes débuts libertins, pour vous narrer une expérience que j'ai vécue il y a plusieurs années de cela, toujours accompagnée d'Audrey et Damien.
Nous étions alors mercredi, au cœur des petites vacances scolaires. Poussin chez son père, j'ai reçu un message d'Audrey : "ce soir, on te sort". Même si j'ai relevé le ton un peu autoritaire de l'invitation, je n'ai pas argué que je bossais le lendemain matin. J'ai juste redemandé : "OK, on va où ?". Les choses ont commencé à m'intriguer quand la belle s'est fendue d'une réponse lapidaire : "tu verras bien. mets ta petite robe noire en skaï".
Si j'avais été plus au courant du libertinage dans la région, j'aurais su. Mais j'étais au taf, je n'ai donc pas cherché plus loin. A l'heure dite, ils sont passés me chercher. Comme souvent en pareil cas, c'est Audrey qui conduisait. Après une franche rigolade, nous sommes finalement arrivés dans ce club-sauna que j'avais déjà visité une fois avec eux.
Là encore, j'aurais du me douter de quelque chose. Sur le parking, Damien a sorti un gros sac de sport du coffre de la bagnole. Nous nous dirigeons vers l'entrée, nous sonnons et on nous ouvre. une fois n'est pas coutume, c'est la patronne qui est à l'accueil. Peut-être la serveuse habituelle est-elle de congé ?
J'en suis là de mes pensées quand nous sortons du vestiaire pour atteindre le bar du club échangiste. Là, un homme boit un verre, tranquillement assis sur un tabouret. Sa femme, quant à elle, se trouve à quatre pattes à ses pieds. Il la tient en laisse. Bon sang, mais c'est bien sûr : ce soir, c'est soirée BDSM.
Ambiance sadomaso
C'est alors qu'entre en scène la belle Cynthia (les prénoms ont été changés), la serveuse qui, habituellement, officie à l'accueil et derrière le bar. En tenue de cuir noir qui laisse plus qu'entrevoir sa fantastique poitrine, elle prend un air sérieux. Elle est accompagnée d'une femme mûre, elle aussi habillée en dominatrice.
Les deux femmes vont prendre possession de ce qui est habituellement la piste de danse, où trône d'ailleurs une belle croix de Saint-André (la croix en X, pour les non-initiés). Plusieurs des hommes célibataires leur font suite. Bientôt, ils se retrouveront attachés et martyrisés par les deux maîtresses SM. L'un d'entre eux bande comme un taureau, alors que la plus mûre des dominatrices lui maltraite les tétons et l'humilie publiquement.
Audrey me fait signe de m'asseoir sur l'un des fauteuils placés juste en face de l'aire de jeux BDSM. Elle s'installe à côté de moi et exige de Damien qu'il se place à genoux en face de nous. Elle saisit le sac de sport et en sort un martinet, une cravache et une espèce de trique (on me dira ensuite qu'il s'agit d'une canne anglaise). Aux ordres, Damien place sa tête entre les cuisses de sa chérie et entreprend de lui lécher la chatte, tandis qu'elle assiste confortablement au spectacle.
Tout en lui assénant quelques coups d'une violence modérée sur les fesses, à l'aide de ses différents jouets, Audrey fait alterner la bouche de son mari de sa chatte à la mienne. Je décide de me laisser faire et de profiter du show d'une incroyable cruauté que proposent Cynthia et sa complice.
Dominatrice BDSM le temps d'une soirée
"Bonsoir madame. Aurais-je l'impudence de vous demander si je peux me rendre utile ?" me demande t-il. Audrey rigole à gorge déployée, tout en resserrant l'étau de ses cuisses sur la tête soumise de Damien. "Vas-y, fais-toi plaisir" me lance t-elle. Elle est marrante, mais je ne saurais même pas quoi faire avec ce gars. Elle me rassure, me dit qu'il saura bien me dire si je vais trop loin.
Et puis, après tout, je suis là pour essayer. J'entraîne donc mon nouveau soumis dans une grande chambre. Déjà, une maîtresse est en train de faire rougir les fesses d'un soumis et d'une soumise. Ils vont avoir des bleus demain, parce qu'elle n'y va pas de main morte avec ses instruments de torture. J'attache péniblement mon esclave à une autre croix, et commence à ouvrir sa chemise.
Il est beau, bien taillé, et j'aurais bien voulu en faire mon 4 heures si je ne devais pas tenir un autre rôle. Je commence à lui pincer les tétons. Il m'encourage d'une voix toujours aussi fluette. Me voyant faire, la domina vient à mon aide. Elle m'apprend comment faire, délaissant un instant ses propres esclaves.
Finalement, j'y prends gout. Je sors la queue et les couilles de mon soumis de leur cachette. Il bande dur, lui aussi ! Et je commence à jouer avec ses testicules. Cette fois, il grogne de douleur. J'ai des doutes. "Dis-moi stop si ça fait trop mal". Il a l'air d'apprécier. Je continue. Et plus je travaille ses couilles, plus il bande.
Libertine un jour, libertine toujours !
Je baisse finalement son pantalon et son slip. Je le détache, pour mieux le rattacher, dans l'autre sens cette fois. Je demande à la dominatrice expérimentée si elle peut me prêter son martinet. Là, je vais fouetter les deux belles fesses musclées du mec pendant de longues minutes. A la fin, son cul est rougi par les coups.
Le jeu m'amuse terriblement, mais je suis un peu frustrée. J'ai envie de sexe. Dans la chambre, les choses ont évolué. Un mari offre le cul de sa soumise à tous les mecs célibataires qui souhaitent la sodomiser. En levrette, ses gros seins pendent : il lui a fixé des poids aux tétons. Il me propose de jouer avec elle. Je me place devant elle, allongée et, tandis qu'un gaillard l'encule sans ménagement, je pousse sa tête jusqu'à ma chatte, qu'elle va lécher avidement.
Me laissant aller à mon plaisir, je joue avec ses grosses mamelles. Elle souffre réellement. Mais je sens qu'elle aime ça. Alors je continue, jusqu'à jouir de sa douce langue sur mon clitoris. Pendant ce temps, mon soumis est resté attaché. N'y tenant plus, je le retourne à nouveau sur la croix. Mais c'est qu'il bande encore ! Je me mets à le sucer, sans omettre de continuer à lui travailler les testicules.
J'ai envie qu'il me baise. Mais une vraie dominatrice ne fait pas ça. Qu'importe : je demande à ce qu'on m'aide à l'allonger et l'attacher sur le lit. Cette fois, sa bite est à moi. Je lui enfile une capote, je lui pose une pince sur chacune des couilles. Et je m'enfile ce gode humain. Je le chevauche en lui donnant des claques sur le visage et sur le torse.
Quand je jouis une seconde fois, il finit par grogner et éjacule dans la capote. Derrière moi, Audrey et Damien applaudissent à tout rompre. Sur le chemin du retour, ils me demanderont bien entendu ce que j'ai pensé de cette expérience. En toute honnêteté, j'ai bien aimé. Mais je préfère le sexe vanille, même en étant un peu dominatrice.
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