Si vous voulez encore plus de récits libertins vécus, Audrey et Damien viennent d'ouvrir leur propre blog, dédié à leurs mémoires libertines. Je vous encourage à lire leurs textes.

dimanche 29 septembre 2019

exhibition chaude dans un coin à voyeurs

Peu de temps après avoir rencontré Louis, je l'ai suivi dans un délire. Il souhaitait m'exhiber dans un coin où voyeurs et couples se rencontrent, non loin de là où nous habitons. Amusée par ses idées toujours un peu saugrenues, j'ai donc accepté. Et je suis allée un peu plus loin que ce que j'imaginais.


Les idées délirantes de mon amant


Cela devait faire à peu près un an que j'étais devenue libertine quand j'ai rencontré Louis. Je l'ai tout de suite trouvé très charmant, et surtout très drôle. Avec lui, le sexe ne ressemblait jamais à ce qu'il avait été la veille. C'est d'ailleurs toujours le cas. Il sait m'étonner encore et toujours avec des propositions systématiquement indécentes.

Ce jour-là, Louis m'explique qu'il a entendu parler d'un parking, au bord de la route départementale, où s'ébattent régulièrement couples exhibitionnistes et voyeurs en tout genre. Au début, je fais un peu semblant de l'ignorer. Je n'étais alors vraiment pas tentée par ce côté glauque du "dogging" comme disent les sites pornographiques.

Mais Louis, toujours aussi imaginatif, n'est pas venu les mains vides. Il a apporté un jean neuf, très coûteux et parfaitement à ma taille. Il a ajouré de quelques coups de ciseaux le pantalon. Si je le passe, mon cul en ressort= parfaitement. A l'avant aussi, il a fabriqué un orifice pour l'accès à mon sexe.

Quand je vois le travail, j'explose littéralement de rire. Nous nous échangeons un regard. "Allez, oui, je veux bien l'essayer pour toi. Il est loin ce parking ?".

Le coin à voyeurs


Au bout de quelques kilomètres, Louis fait demi-tour vers un parking isolé de la route par un petit massif d'arbres. Là sont stationnées une bonne demi-douzaine de voitures, ainsi qu'un camion semi-remorque. La panique s'empare alors de moi. Je lui dis : "continue, je n'ai plus envie. Tu te rends compte de ce qui peut nous arriver dans un bouge pareil ?".

Calmement, Louis s'arrête à côté des autres voitures. Il verrouille les portes et baisse légèrement sa vitre. Il allume alors une clope et me la tend. Je tire une taf 'je ne fume que très rarement). Ma respiration devient peu à peu moins erratique. Je retrouve partiellement ma sérénité. Mais, cette sensation ne dure que peu de temps. Un homme, la bite à la main, epasse à côté de ma portière. Sur le coup, il ne m'a pas vue.

Mais il fait finalement demi-tour pour regarder dans la bagnole. Il me fixe à travers le pare-brise. Comme par bravade, ou mue par je-ne-sais quelle force, j' enclenche le système de mon siège pour reculer tout au fond. Une fois fait, j'écarte les cuisses, de sorte que l'inconnu voit maintenant parfaitement ma chatte, rendue visible par l'ajour du jean.

Faisant semblant d'ignorer la présence de Louis à ma droite, je commence à me masturber, en plantant mon regard dans celui du voyeur. De son côté, il se branle aussi. Puis, il contourne la voiture pour arriver à côté de moi, à côté de ma portière. Il essaie de l'ouvrir, ce qui me fait sursauter.


Exhibition torride devant une dizaine de mecs


Comme la porte est verrouillée, je peux poursuivre. A ce moment, Louis sort enfin de sa torpeur. D'un geste lent et caressant, il soulève mon T-shirt jusqu'en haut de mes seins et fait surgir mes nichons de leurs balconnets. Je continue de me branler, tout en poussant de petits râles provocateurs.

Louis baisse un tout petit peu la vitre, pour que le voyeur puisse m'entendre. Moi aussi, je l'entends : "ah ouais, c'est une chaude ta femme. Elle veut me sucer ?" Louis ne répond rien. Il me regarde, fasciné par le spectacle que j'offre à notre visiteur. Mais les grognements de ce dernier ont tôt fait d'attirer toute une meute.

En quelques minutes, notre voiture se retrouve cernée de mecs en branle, qui se bousculent pour avoir la meilleure place. Louis, à son tour, se met à se branler. Juste avant de jouir, je lui susurre à l'oreille : "mets une capote". Il est grand temps : l'orgasme part d'un coup, et je ne reconnais pas ma propre voix quand je me mets à hurler mon plaisir.

On baise dans la bagnole


A peine ma jouissance terminée, je ressens le besoin impérieux d'être pénétrée. Je me jette sur Louis qui n'a rien à faire d'autre que de me laisser m'empaler sur sa bite. Je lui colle mes seins dans la bouche, et il se met à me téter tandis que j'imprime un mouvement de va-et-vient à notre coït.

Un nouvel orgasme s'annonce déjà dans mon bas-ventre. Je dois le branler avec ma chatte car mon amant, lui aussi, est pris de soubresauts. Il est même le premier de nous deux à jouir, mais il reste raide suffisamment longtemps pour que je vienne à mon tour.

Nous sommes restés ainsi, l'un sur l'autre pendant une longue minute. Quand nous avons repris nos esprits, les voyeurs étaient toujours là. Je dis à Louis : "on s'en va". Il démarra le moteur et les voyeurs se dispersèrent aussi vite qu'ils étaient venus. En sortant du parking, nous avons croisé une voiture dans laquelle était assise une femme, très maquillée.

Je pense que les voyeurs n'avaient pas fini d'être au spectacle, ce jour-là. Je sus en mon for intérieur aussi que j'aurais envie de revenir bientôt.


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